Né au Bénin, Klaus est le créateur de la marque de jus prometteuse Hibis Juice. La mention de ses origines n’est pas un hasard, elles sont le fondement de l’idée novatrice et touchante de Klaus : faire connaître au monde les recettes gourmandes de sa maman et plus globalement du Bénin.
Son histoire comme point de départ
Jusqu’à peu, travaillant dans la restauration, il réalisait avec amour des repas aux saveurs béninoises à la demande de ses amis. Ce sont eux qui le pousseront à se lancer dans l’aventure afin que personne ne passe à côté des richesses de sa culture. En effet, Klaus remarque que les spécialités d’Asie ou même d’Orient sont représentées dans le monde culinaire français, mais il ne retrouve pas les saveurs de son enfance dont les recettes restent encore si peu connues.
C’est ainsi que dans sa cuisine il a commencé, il y a deux ans, à concocter le jus béninois à base d’hibiscus que lui faisait sa maman. Son nom : le bissap. À force d’expérimentations, de dégustations et d’ajustements, il est arrivé à une recette parfaite, peu sucrée et gourmande à la fois. Il le dit lui-même, cette boisson s’adresse aux amateurs de saveurs de tous âges et horizons.
Côté goût, cette boisson aux grandes vertus, se boit comme du petit-lait. Légère, désaltérante et très parfumée, le bissap d’Ibis Juice est la boisson désaltérante de l’été !
L’évidence écologique pour une spirale vertueuse
Au-delà de vouloir partager sa culture avec légèreté et positivité, l’engagement écologique et social de Klaus est au cœur de sa démarche. Les bouteilles en verre de ses jus sont consignées, ce qui évite d’avoir à les recycler. Il utilise le plus possible les low-technologies afin de diminuer la consommation d’énergie et les soucis électroniques par la même occasion.
Enfin, il choisit ses produits avec soin et a pour ambition de tendre le plus possible vers le biologique. Le sucre de betterave et la menthe qu’il utilise sont d’origine France. Pour l’hibiscus, qui vient pour le moment du Sénégal, Klaus est allé au Bénin en janvier pour y établir un partenariat direct avec des producteurs bio.
Et les résidus d’hibiscus ? La réponse est claire, ce ne sont pas des déchets mais des produits secondaires. Dans le futur, peut-être seront-ils récupérés par un brasseur pour en faire de la bière ?
Vous n’avez pas encore pu goûter à ce délicieux breuvage aux saveurs du Bénin, aussi beau que bon ? Vous pouvez le retrouver dans les cafés, épiceries, restaurants ou événements grenoblois tels que Mon Vrac, Episol ou encore au Bar Radis. À déguster frais et sans aucune modération, délice garanti !
Hibis Juice